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marshall
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marshall


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MessageSujet: truc   truc EmptyVen 17 Oct - 12:37

En 1879, Ericsson conçoit ses premiers téléphones : l’entreprise, qui compte 10 salariés, vend 74 exemplaires de « téléphones magnétiques avec trompette de signalisation ». La constitution de la Stokholms Allmänna Telefonaktiebolag (SAT), une compagnie téléphonique suédoise, accélère le développement d’Ericsson : une première commande de 1 000 postes et de 20 standards téléphoniques lui permet de financer le passage de la production artisanale au stade industriel en 1884, puis le donneur d’ordres et le prestataire fusionnent en 1918 pour constituer l’actuelle société LM Ericsson. La capitale suédoise est alors la ville qui compte le plus de téléphones dans le monde avec 3 160 abonnés. En 1892, Ericsson commercialise le premier téléphone de bureau avec combiné, dont la production locale excède les 10 000 unités par an. Par ailleurs, Ericsson s’implante à l’étranger dès le début du xxe siècle : en 1903 en Grande-Bretagne (premier marché à l’exportation de l’entreprise suédoise), l’année suivante aux États-Unis, en 1907 au Mexique et en 1911 en France. Le groupe est aujourd’hui présent dans 140 pays et réalise ses meilleures performances commerciales en Chine, aux États-Unis, puis en Europe.

Ericsson suit le chemin de l’innovation en élaborant les premiers postes à cadran (1923) et développe des activités dans le domaine de la radio. Si les années de guerre mettent un frein à cette expansion continue, celle-ci reprend dans les années cinquante et soixante avec la mise au point du nouveau système crossbar de centraux téléphoniques (1958), du téléphone avec haut-parleur, du commutateur à code pour les centraux publics (1961), du téléphone à touches en 1966. En 1971, le premier central téléphonique entièrement informatisé est installé par Ericsson dans la ville de Rotterdam : il sert pour les communications internationales, ainsi que pour le réseau interurbain.

2. ERICSSON ET LE DÉVELOPPEMENT DES TÉLÉPHONES PORTABLES

Ericsson, qui emploie 100 000 personnes dans le monde, a aujourd’hui transposé à la téléphonie mobile la maîtrise acquise en matière de radiocommunications et de construction de réseaux. Le premier central de téléphonie régionale entièrement numérique est installé en Finlande en 1984. Deux ans plus tard, le système mis au point par Ericsson est utilisé dans 63 pays, soit 45 p. 100 du marché de la téléphonie mobile mondiale de l’époque. Depuis la déréglementation du marché des télécommunications amorcée aux États-Unis au début des années quatre-vingt-dix et le développement des téléphones portables ainsi que des radiomessageries personnelles, la branche radiocommunication d’Ericsson est devenue le plus important département du groupe. En effet, ce dernier consacre au développement et à l’amélioration de cette seule activité 20 p. 100 de son chiffre d’affaires annuel, qui s’élevait en 1998 à 136 milliards de francs. Une donnée statistique rend compte à elle seule du résultat de ce considérable effort d’investissement : 40 p. 100 des abonnés à un téléphone cellulaire peuvent émettre ou recevoir leurs appels grâce à un équipement fourni par Ericsson.



3. Les technologies de l’information
ENIAC : le premier ordinateur entièrement numérique Conçu en 1945 à l'université de Pennsylvanie, l'ENIAC (Electronic Numerator Integrator and Computer), fut inventé par deux ingénieurs américains John Presper Eckert (1919-1995) et John William Mauchly (1907-1980). En service pendant 9 ans, il contenait 18 000 lampes à vide et pesait trente tonnes. Sa programmation nécessitait une intervention manuelle humaine importante.UPI/THE BETTMANN ARCHIVE/Corbis

Au cœur du système technique contemporain, l’électronique permet la communication et le contrôle sans lesquels ce système ne fonctionnerait pas. Les technologies de l’information ont emprunté les composants disponibles à chaque époque : mécaniques dans les machines à calculer (Blaise Pascal, 1642) ou à écrire (vers 1870), dans les dispositifs électromécaniques puis électroniques. Les télécommunications par fil, télégraphe puis téléphone, se sont développées depuis la seconde moitié du XIXe siècle en utilisant les dispositifs électromécaniques : relais, câbles, microphones, etc. L’invention du tube électronique, en 1905, permit l’essor des télécommunications sans fil : radio et télévision à partir des années 1940. La course aux hautes fréquences ouvrit des applications variées : radar et radionavigation, faisceaux hertziens, etc.

La perforatrice IBM 010 La perforatrice IBM 010 fut une des premières machines destinées à perforer les cartes utilisées dans les tout premiers ordinateurs. Sur ces cartes le codage de l'information était fondé sur une répartition particulière et spécifique des trous. Les dispositifs de stockage de l'information sont aujourd'hui des disques optiques portant des alvéoles microscopiques inscrites dans le disque, qui jouent le même rôle que les trous perforés dans les cartes.THE BETTMANN ARCHIVE/Corbis

Le traitement de l’information et le calcul automatique suivirent la même évolution, avec un décalage de quelques dizaines d’années, les nombreuses pièces incorporées dans chaque machine devant être très fiables. Une industrie des machines comptables et des machines à cartes perforées (machine d’Hollerith, 1890) s’était développée depuis la fin du XIXe siècle pour répondre aux besoins de contrôle et de gestion des grandes administrations (recensement, armées, finances) et des réseaux (chemins de fer). À la faveur de la Seconde Guerre mondiale et des urgences qu’elle imposa, des ingénieurs britanniques et américains construisirent les premiers calculateurs électroniques (Colossus, 1943, ENIAC, 1945). L’idée de les programmer, non plus par des câblages matériels mais par des instructions symboliques enregistrées en mémoire (« logiciels »), conduisit à la réalisation des premiers ordinateurs vers 1950, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. L’industrie américaine s’imposa d’emblée, avec Univac et IBM au premier rang. Les composants étaient alors encore des pièces hétérogènes empruntées à des secteurs voisins : tubes radio, écrans et mémoires de radars.

À partir de la fin des années 1950, ils furent supplantés par les semi-conducteurs : transistors (inventés en 1948 aux laboratoires Bell d’ATT), puis circuits intégrés. En 1973, la mise au point des premiers microprocesseurs (Intel 8008) permit de construire des micro-ordinateurs, qui allaient bouleverser l’industrie informatique et le monde du travail. Simultanément, les circuits intégrés furent jugés suffisamment fiables pour être utilisés dans les systèmes de télécommunications. Ceux-ci, jusque-là analogiques, devinrent numériques et purent désormais être connectés avec les ordinateurs. Cette convergence de l’informatique et des télécommunications se manifesta par la mise en service de Transpac et du Minitel en France, d’Arpanet et d’Internet aux États-Unis puis dans le monde entier.






Le brevet
les inventeurs Elisha Gray et Alexander Graham Bell déposèrent une demande de brevet d'invention pour le téléphone le même jour. La découverte du calcul infinitésimal fut âprement revendiquée par Isaac Newton et Gottfried Leibniz.

Le sisteme de téléphone cellulaire
Un téléphone cellulaire, qui se compose d'un combiné muni d'une antenne, est un appareil où les fils de raccordement au central téléphonique ont été remplacés par une liaison radio. Des stations radioélectriques, raccordées au réseau classique, sont à cet effet déployées sur l'ensemble du territoire, chacune couvrant une petite zone géographique appelée cellule.

De ce fait, les téléphones cellulaires n'ont pas besoin d'une grande puissance, ce qui permet de les miniaturiser sous la forme d'un combiné muni d'une antenne et intégrant tous les dispositifs nécessaires. Chaque signal est transmis sur une fréquence porteuse correspondant à la cellule dans laquelle se trouve l'utilisateur à ce moment-là. La modulation de fréquence à bande étroite est le mode de transmission le plus courant.

Les premiers téléphones mobiles étaient analogiques : l'équipement était encombrant et coûteux, si bien qu'ils étaient surtout utilisés en voiture. Au cours des années 1980, des recherches furent menées en Europe pour remplacer ces téléphones analogiques par des équipements à transmission numérique, plus efficaces et plus légers. La norme GSM (Global System for Mobile Communications) fut à cet effet adoptée par les différents partenaires européens en 1992.

Deux réseaux concurrents sont exploités : l'un par France Télécom sous le nom d'Itinéris, l'autre par la société SFR (Société française de radiotéléphonie). Un troisième réseau de téléphonie cellulaire, commercialisé par Bouygues Télécom, est entré en service en 1996, selon une norme légèrement différente : le DCS 1 800, qui utilise des fréquences autour de 1 800 MHz, alors que le GSM fonctionne vers 900 MHz.
Paradoxalement les derniers développements de la communication de masse semblent mettre en avant l’individu (téléphone portable, site personnel sur Internet). En théorie, toute personne équipée a accès à Internet, aux facilités de travail et d’information que procure le réseau, comme aux nouveaux médias. En pratique, il subsiste une frontière entre ceux qui y ont effectivement accès, et ceux qui pour des raisons sociales ou autres s’en trouvent exclus
Sony, groupe japonais spécialisé dans l’électronique, dont le siège social se trouve à Tokyo.
Créée en 1946 par Akio Morita sous le nom de Tokyo Tsushin Kogyo Kabushiki Kaisha (« société technique de télécommunications de Tokyo »), ce n’est qu’en 1958 que la société adoptera sa dénomination actuelle. En 1960, la Sony Corporation of America est créée à New York. L'année suivante, Sony est la première société japonaise dont les actions sont cotées en Bourse aux États-Unis. Sony possède des filiales en Amérique du Nord, Amérique centrale et Amérique du Sud, en Europe, au Moyen-Orient et en Australie.

La société conçoit, fabrique et vend des appareils électriques. Le groupe est également leader dans le développement de biens de consommation électroniques tels que magnétoscopes, lecteurs de CD et postes de télévision. À la fin des années soixante-dix, Sony introduit sur le marché le « walkman », un lecteur de cassettes portable avec écouteurs, qui sera suivi du « watchman », un appareil de télévision qui peut être porté comme une montre-bracelet. Sony sera le premier à commercialiser le magnétoscope, même si le format qu’il développe (le système Betamax), sera supplanté par le système américain VHS développé par la société Radio Corporation of America (RCA). Toutefois, le système Betacam de Sony est devenu le standard en matière d’équipements d’émetteurs.
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